Collection Lesbiennes. Ma Belle-SUr Me Dévoile Ma Bisexuelle (4/7)
Quand jai accepté la proposition de Jacques mon beau-père de venir pendant les deux mois dété avec Benoît et Lola mes s pour quils profitent du bon air marin dans la maison quil a racheté pour y prendre sa retraite, jétais loin de penser que ma vie en serait bouleversée.
Proposition de Jacques suivi de celle de Claudia ma belle-sur de nous emmener dans sa grosse Mercédès dont je me suis senti obligé de lui demander comment une simple coiffeuse à domicile a pu se loffrir.
À demi-mot, je comprends quelle a une vie parallèle lui arrondissant ses fins de mois.
Elle finit par mavouer quelle est une sorte descorte pour bourgeois en mal de plaisirs saphiques.
Ces bourgeoises sont souvent des lesbiennes refoulées qui épousent leur mari fortuné pour leur donner une descendance.
Dès quun mâle rejoint leur foyer, elle se retrouve isolée et avec quelques billets, voire beaucoup de billets Claudia leur assouvie leur penchant naturel.
De notre première nuit qui finit par la découverte que moi aussi, jaime les jeux sexuels féminins ainsi que le faite de me promener nue sur la plage naturiste même devant mes s qui eux aussi ont découvert le naturiste.
Claudia a ce que lon pourrait dire une mauvaise influence sur moi, au point que jaime quand chaque soir dans notre nid douillait, elle martyrise mon corps.
Principalement mes seins quelle enserre chaque soir dans des colliers quelle sert de plus en plus me faisant souffrir au début avant quun bien-être ne me submerge.
Claudia ma fait découvrir que jaimais la souffrance au point quelle se transforme en plaisir.
Hier elle ma fait passer une étape ayant sorti de sa valise à mystère de grandes aiguilles qui les ont transpercés.
Elle a tout ce quil faut pour stériliser ses aiguilles afin déviter que mon plaisir ne se transforme en infection.
Sur mes mamelons bien dessinés suite à mes allaitements, ce sont des petites pinces dites crocodiles quelle y a fixés, une nouvelle fois me faisant hurler.
Une chaînette les relie, elle aime mobliger à tourner dans la chambre pour la suivre sinon, je souffre trop.
Ce soir quand nous avons pris notre bain nous sommes restées sages car Claudia ma invité au restaurant.
Elle ma simplement savonné et jai pu voir les petits trous par où les aiguilles étaient entrées et sorti ainsi que les légères marques qui ont été laissées sur mes mamelons par ces pinces initialement faites pour autre chose que mon plaisir est distillé par cette sadique.
Quand nous entrons dans ce restaurant Italien où Claudia connaît le patron, une surprise nous attend.
- Josy regarde à la table voisine, les deux bellâtres de la plage dans des costumes de grande qualité.
- Bonsoir mesdames, le monde est petit mais bien fait, Charles et Ludovic.
- Ma belle-sur Josy et je mappelle Claudia en vacances chez Jacques mon père.
- Charles et moi nous sommes architecte à Paris et nous avons pris une petite semaine de vacances dans votre ville côtière.
- Êtes-vous des PD
- Surement pas, même si nous vivons et travaillons ensemble.
Nous sommes ici en vacances car javais une amie qui ma quitté.
Jai fait une légère dépression car jy tenais et le médecin trouvant que nous travaillions trop nous a imposé une semaine de vacances.
Nous repartons demain et nous avons décidé de venir manger au restaurant pour notre dernier soir.
Je vois que Josy a une alliance, tu es mariée !
- Oui cest la femme de mon frère, lui aussi travail beaucoup.
- Vous allez rire, en te voyant passer de lhuile solaire sur le corps de ta belle-sur surtout entre ses jambes, nous vous avions pris pour un couple de lesbiennes.
- Tu as dit gouine, Charles, la brise marine a porté vos paroles même si tu as parlé faiblement.
Mais tu as raison, je suis lesbienne et jai fait découvrir à Josy quelle était bisexuelle.
Une nouvelle fois, Claudia semble se jouer de moi, mais faire marcher ces deux beaux gosses mamuse alors je décide de jouer le jeu.
Nous buvons le rosé italien quils nous offrent, le reste du repas se passe sans incident les garçons sont charmants.
Je dois dire simplement que je suis un peu pompette, ce qui en règle générale me rend gaie.
- Laisser cest pour nous.
- Non Charles, cest moi qui paye.
Je rigole à les voir presque se diviser pour savoir qui va payer, ils espèrent peut-être que nous allons finir dans leur lit.
Connaissant Claudia et ce quelle ma dit sur les bites des hommes ça métonnerait que ça marche.
Quant à moi, ma fidélité à Franck est de tous les instants même si je me frotte la chatte à celle de sa sur.
Acte sexuel quelle ma fait connaître et que jaime surtout quand son clito entre en contact avec le mien, me pénétrant même.
Ludovic ouvre son portefeuille et prend en main une liasse de billets de 500 , je nen ai jamais vu, seulement des billets de 200.
- Non, cest moi qui leur offre ce repas, tu veux toujours prendre le pas sur moi devant les dames, cest comme ça que tu avais séduit Jacinthe.
Lui aussi sort des billets de 200 et 500 et les places dans la coupelle.
- Mesdames, pour notre dernière soirée, nous avions décidé daller dans un bar à vins voisin boire une bonne bouteille avant de rejoindre notre bungalow sur le camping voisin de la plage où vous nous avez vus.
Est-ce le vin, une pensée me vient, sur cette plage, nous avions vu leurs bites.
Maintenant elles nous sont cachées, cest le monde à lenvers surtout que je suis certaine que je ne les révérais pas.
Ne suis-je pas mariée et fidèle surtout ici avec mes deux s.
- Quand nous avons décidé de venir ici, Charles venant dans sa jeunesse dans une location, nous avons cherché un hôtel, tous complets, des locations rien de bien folichons quand nous avons vu ce camping quatre étoiles où il y avait un bungalow tout confort, nous sommes venus.
Nous vous invitons à boire cette bouteille avec nous.
- Aucun problème, nous aimons nous amuser.
Claudia se met une nouvelle fois en avance, je serais bien rentré chez nous.
Est-ce le vin, jai chaud surtout du bas-ventre, Claudia fait de moi une dépravée qui pense au sexe de plus en plus souvent.
Le bar est moderne, cest la première saison quil a été ouvert.
La bouteille de vin de pays vidée, la proposition est directe.
- Vous venez jusquà notre bungalow boire un dernier verre, il est trop tôt pour retourner chez votre père.
- À ce point de notre soirée, on ne veut rien vous cacher, je nai jamais eu de rapport avec des hommes et je nen aurais pas.
Vous allez trouver ça étrange, ma belle-sur Josy est mariée à mon frère mais cest aussi une escorte girl.
Nous sommes nous-mêmes Parisiennes et nous faisons vivre nos familles grâce à largent que nous gagnons avec nos sexes.
Je suis moi-même une escorte mais avec des femmes ce que vous nêtes pas.
Jai vu que vous aviez du liquide, pour 2 000 nous vous suivons et Josy sera à vous jusquau petit matin.
Je regarde Claudia le souffle coupé, elle vient carrément de me vendre à ces deux hommes comme une simple poupée gonflable.
Charles vient se coller à moi, je sens son sexe, contrairement à la plage, je le fais bander.
- Et nous pourrons tous les deux lavoir pour 2 000, chacun !
- Bien sûr, ma belle-sur comme moi, sommes des putes de luxe, elle ne les vaut pas.
Si vous étiez seuls au restaurant, cest que vos dragues à poil sur la plage se sont avérées stériles, je suis sûr que vous serez satisfaite de sa prestation.
Je mattends à ce que Claudia éclate de rire, leur disant quelle plaisantait et que jétais une bonne épouse en vacances avec ses s chez son beau-papa.
Il nen est rien, ils ouvrent leur portefeuille et je vois des billets passer dans les mains de la mère maquerelle qui vient de me vendre.
Nous sortons la main de Charles sur mes fesses, je pourrais me sauver en courant rien ne me retenant.
Comme tout ce que jai subi par cette femme que finalement je connaissais très mal, quand nous montons dans leur grosse Audi.
Ils sont devant, nous derrière, le chemin est court.
Je me penche vers Claudia et lui parle à loreille.
- Claudia arrête ce jeu morbide, je veux rester fidèle à ton frère.
- Trop tard Josy, tu as accepté leur pognon tu dois assumer.
- Cest toi qui as largent dans ton sac.
- Ne crains rien, je serais là, ils ne me toucheront pas mais je saurais te soutenir, ma langue sera là pour toi.
Cest ainsi que je vois la voiture passer la barrière du camping et sarrêter devant un bungalow.
Ma belle-sur continue à me faire faire ce quelle veut
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